| | | Jasper Hale |  |
| | | Auteur | Message |
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| | Sujet: Jasper Hale Sam 14 Fév - 19:51 | |
|    For the first time in almost a century... I felt hope.IDENTITÉ
Nom: Withlock de naissance mais j’ai pris depuis quelques temps le nom « Hale » tout comme ma « sœur » Rosalie, bien que je vive avec la famille Cullen. Ce qui au final donne : Hale Cullen… De quoi faire simple.
Prénom: Jasper. Contrairement à mon nom de famille, j’ai gardé le prénom qu’on m’a donner à sa naissance.
Surnom: Un surnom ? J’en ai un mais il n’est réservé qu’à ma famille : Jazz. Soit dit en passant, je le trouve magnifique lorsque Alice l’utilise.
Âge: Mon âge ? Physiquement figé lors de ma vingtième année, j’en parait cependant un peu moins. Mais ne vous fiez pas aux apparences, du haut de mes 145 années, je suis de loin bien plus vieux que vous.
Date de naissance et lieu de naissance: Je ne me rappel plus vraiment du jour mais je sais que je suis né en 1843 à Houston au Texas (USA).
Profession: Soldat dans l’armée confédérée pendant quelques années… ensuite Etudiant en terminal et ce jusqu’à la fin de mon éternité damnée.
Année d'étude: En terminal… encore et toujours.
Nature: Je suis un vampire végétarien… Pacifiste tant qu’on ne s’en prend pas aux miens. Dans ces cas là, je peux devenir votre pire cauchemar.
DESCRIPTION:
Physique: Apparence physique… Je suppose que je dois me décrire? Chose moins évidente qu’il n’y paraît bien évidemment. Enfin moins difficile que pour Emmett… Je l’imagine déjà le torse bonde de vantardise, se décrivant comme un dieu grec… Un apollon musclé comme un catcheur. C’est tout lui ça ! Comme sur le plan intellectuel, je suis bien différent de lui sur le plan physique. Enfin je suis loin d’être une crevette tout de même. Je dépasse royalement mon lutin adoré d’une tête… Oui, oui je sais, c’est très marrant. J’ai une carrure plutôt normale… Je suis certes plus musclé qu’Edward – j’étais dans l’armée tout de même, faut pas l’oublier – mais moins qu’Emmett cependant. Je suis un savant mélange de force et d’intelligence. J’ai la démarche masculine et gracieuse, complétant à merveille la démarche pleine de sensualité et de bonne humeur de ma moitié. Mes cheveux sont plus long que ceux d’Edward… Plutôt étrange pour un garçon, vous en conviendrez. Je ne me suis jamais résolu à les couper. Contrairement à Alice, qui a de magnifique cheveux sombre, les miens ont la couleur du miel. Mais une fois mouillé, leur couleur se rapproche très fortement de ceux de ma femme. Comme tous les miens, ma peau est d’une extrême pâleur, presque comme le marbre. Caractéristique propre aux vampires De légers cernes violettes souligne constamment mes yeux, prenant toujours une teinte plus sombre lorsque la soif se fait ressentir. Mes yeux… C’est là une particularité du a notre régime alimentaire dit « végétarien ». Contrairement au sang humain qui donne une teinte rouge/bordeaux aux iris, le sang animal donne lui une couleur doré. Mes yeux sont donc habituellement dorés mais virent rapidement à l’onyx lorsque la soif est présente… Mais cela arrive rarement, je chasse généralement bien avant cela.
Caractère: Mes qualités et mes défauts? Parce que j’ai des qualités ? Enfin… trêve de plaisanterie ! Je crois qu’il faudrait plutôt demander à Alice pour ça. Exposer mes qualités comme ça, me donne l’impression d’être dans la peau d’Emmett lorsqu’il se vante. J’arrête, sinon il va m’en vouloir le pauvre. Bref… Je me vois comme quelqu’un de plutôt gentil. Ma qualité principal doit certainement résulter dans le fait que je suis capable de gérer les émotions. S’il y a quelqu’un de triste, j’envoie un peu de bonheur dans l’air et c’est régler. Etre empathique me donne une certaine facilité à comprendre les gens qui m’entourent, sentimentalement parlant bien sûr. Je suis également compréhensif avec les autres. Ma vie n’ayant pas toujours été rose, je sais que ça peut arriver aux autres également. Bien que je sois un garçon, je suis toujours partant pour accompagné Alice lors de ses sortie shopping… Sauf si elle désire rester avec Rose seulement. Je ferais n’importe quoi pour la rendre heureuse. Je suis bien évidemment toujours partant pour une partie de Base-ball avec ma famille.
Et même si c’est pas toujours facile, je fait de mon mieux pour respecter les idéaux de Carlisle. Comme Edward, je ne veux pas être un monstre… Mais si je le fais, c’est aussi pour qu’Alice soit fière de moi.
Pour ce qui est de mes défautx… C’est toujours plus facile de se trouver des défauts, que des qualités. Pour commencer, je suis trop réservé. Je garde beaucoup de chose pour moi, dont beaucoup de sentiments. C’est sans doute le fait de pouvoir percevoir les sentiments d’autrui qui me poussent à garder les miens pour moi. Ensuite, je suis trop taciturne. Je ne parle jamais outre mesure, enfin sauf avec Alice… C’est la seule personne avec qui je suis moi même : câlin, attentionné, tendre,… Avec le reste de ma famille je parle peut alors je connais moins bien le reste de ma famille. Enfin sauf Edward qui lui peut lire dans mes pensés, il connais plus de chose sur moi que les autres, excepté Alice. Je suis jaloux ! Voilà pourquoi je colle toujours ma femme. Mignonne et craquante comme elle est, j’aurais peur qu’on me la vole. Comme on dit, les trésors les plus précieux ne sont pas toujours d’or.
Je suis parfois trop réfléchis. Ce qui freine souvent le reste de ma famille. Mais le plus gros de mes défauts c’est sans aucun doute le fait que je contrôle très mal ma soif. J’ai par le passé mis plusieurs fois Bella en danger et Alice est sans cesse obligée de veiller sur moi au lycée. Ce qui entraîne le défaut suivant : je suis trop méfiant. Tout ce qui est humain doit rester loin de moi, pas parce que je me méfie d’eux… mais parce que je me méfie de moi. J’envie souvent Emmett et son sourire chaleureux qui se lie facilement avec autrui.
Qualités dominantes: Facilité à comprendre ceux qui l’entour ; Compréhensif ; Aimant ; Respectueux ; Doux ; Calme ; Câlin ; Attentionné ; Tendre,…
Défauts dominants: Trop réservé en présence de gens qu’il connaît peu (voir même certaines personne de sa famille) ; Taciturne ; Jaloux ; Parfois trop réfléchis ; Contrôle assez mal sa soif ; Méfiant.
Ce que vous aimez et détestez: Ce que j’aime et ce que je n’aime pas… Commençons par ce que j’aime… C’est moins déprimant.
La chose que j’aime le plus est sans aucun doute ma femme : Alice. Le seul et véritable amour de ma vie... Celle pour qui je donnerais tout ce que je possède. Une femme fabuleuse, pleine de tendresse et de malice. Un rayon de soleil aux saveurs de printemps dans l'hiver monotone de ma vie damnée. Ma femme, ma moitié… Il y a tant à dire sur ce petit bout de femme qui comble ma vie jour après jour. Mais je crois que la chose la plus importante à dire c’est que… Je l’aime tout simplement. Elle est pour moi la plus belle de toute. Ensuite vient, comme pour tous les Cullen, la vitesse, les virés en voiture qui feraient mourir un humain de peur, simplement à cause de la vitesse. Comme la plus part des Américains, et comme ma famille, le base-ball tient une grande place dans les choses que j’aime. Cependant j’aime également accompagné Alice dans ses sortie shopping, sauf si elle préfère restée seule avec et Rose. La chose suivante est une chose que j’aime énormément mais qui me répugne au plus haut point : le sang humain. Je l’aime autant que je le haïs. Ce qui m’amène à ce que j’aime le moins. Les cicatrices qui couvrent mon corps sont les premières choses que je détestent. Elle sont la preuve de mon passé sanguinaire et chacune d’elles est un mauvais souvenirs que je préfèrerais de loin oublier. Les loup-Garou sont la seconde chose que j’aime le moins. Puant, plein de poils, ces gros toutou n’ont vraiment rien pour eux. Je ne les aime pas, mais en aucun cas je ne les détestent. Tout comme moi, ils n’ont pas eu le choix d’être ce qu’ils sont. Le sang humain. Je le déteste autant que je l’aime. J’ai peur de trahir la confiance des miens a cause de l’attirance du sang. Si ça devait arriver, je me détesterais également.
Vos ambitions: Mes ambitions ? J’en avais quand j’étais enfants. Tous les gamins rêvent de devenir riches, d’avoir une grande maison, un bon métier… une femme qui vous ferait de bon petit plat, une grosse voiture et même un chien. Moi contrairement aux autres, je ne rêvait pas de ça. Les femmes ne m’avaient jamais vraiment intéressés. Et quand on est seul, la grande maison ne sert à rien, pas plus que le chien qui resterait seul tout le temps. Non, moi je rêvais d’être soldat. De participer aux grandes guerres, d’être un grand chef de guerre plutôt… Enfin, d’être quelqu’un de reconnu, quelqu’un qu’on oublierai pas, même cinquante ans après sa mort. Et je l’ai été, ce grand chef de guerre mais on m’a oublier au moment où je suis mort… Mort pour mieux renaître. Une renaissance pleine de nouvelles ambitions. Après m’a rencontre avec la belle Maria, je me suis intéressé aux femmes mais aucune n’a vraiment retenu mon attention. Jusqu’au moment où j’ai rencontré Alice, ma lily d’amour, mon adorable petit lutin. Aujourd’hui, mon désir le plus cher est de la rendre pleinement heureuse. Vous me direz que maintenant je peux trouver une grande maison… Je l’ai déjà ! Je la partage avec toute ma famille. La voiture ? Elle bien sagement garer dans le garage entre la M3 de Rose et la Volvo d’Edward. Le chien ? Soit il aurait peur de nous, soit il ne ferait pas long feu au milieu des sept vampires que nous sommes. L’argent, je n’en manque pas le moins du monde. Qu’est-ce que je pourrais vouloir de plus ? Ca vous vous le demandez… Hé bien, malgré mon état de vampire, je suis toujours un homme avec des sentiments, des envies… Des enfants… Voilà ce qui manque à ma vie. Voir mon Alice tenir au creux de ses bras un petit ange aux cheveux sombre, qui aurait les yeux de sa mère, sa douceur… J’en rêve et pourtant je sait que je n’ai pas à espérer.
Professionnellement parlant, je voudrais me lancer dans des études d’art, de littérature… La musique aussi me plairait beaucoup. Je pourrais ensuite enseigner aux jeunes mon savoir… Mais avant ça, je veux être aussi résistant que Carlisle face au sang humain… Avouer que dévorer ses élèves n’est pas le meilleur moyen d’en avoir plus.
Votre pouvoir: Je suis se qu’on appel un empâthe. Pour les incultes, ça veut dire que je perçoit les émotions de toutes les personnes qui m’entoure. Mon don, parce que c’est plus un don qu’un pouvoir, réside surtout dans le fait que je suis capable de manipuler les émotions, de les changer selon mes envies.
HORS JEU
Personne sur l'avatar: Jackson Rathbone
Prénom ou surnom: Jasper ? Jazz ? Ah non c’est pas le bon… Moi c’est Moony pour les amis.
Code:- Spoiler:
Validé par la jolie Lily !
Fréquence de connexion: Tous les jours en principe… je préviens généralement lorsque je suis absent
Où avez-vous connu le forum ? : Via les partenaires sur MoonlightTwilight ou je joue Jasper également (le nouveau… pas l’ancien jasper)
Autre chose ?: Je joins à ma présentation un exemple de RP (ça peut toujours servir).
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| | Sujet: Re: Jasper Hale Sam 14 Fév - 19:51 | |
| Histoire: Jasper Withlock de mon véritable nom, je suis né en 1843 à Houston dans l'état du Texas aux Etats-Unis. J’ai peu de souvenirs de mon enfance et le peu qu’il me reste ressemblent à de vieilles photos sur un mauvais papier jaunis pas le temps. De ma famille, il ne reste que les souvenirs de ma mère dans le jardin. Sa robe lilas flottant au vent alors qu’elle se promenait gracieusement sous un chêne centenaire… Ses yeux aussi bleu que le ciel me fixant… Un sourire plein de douceur alors qu’elle me lisait une histoire pour m’endormir…
Je revois certains camarades d’écoles avec lesquelles j’aimais jouer sous le soleil. Je me rappel cependant avoir été attiré très jeune par l’armée. Alala le prestige de l’uniforme ! A l’époque, être soldat était une carrière respecter de tous.
J’avais dix-sept ans lorsque je m’étais engagé dans l’armée confédérée, en 1861. J’avais menti au sergent recruteurs. J’étais assez grand pour qu’on croie que j’en avais vingt. Ma carrière militaire à été brève, bien que très prometteuse. Les gens m’appréciaient, m’écoutaient… Mon père appelait ça du charisme. J’avais vite été promu. L’armée confédérée débutait, avait du mal à se structurer, ce qui m’offrait des opportunités A la bataille de Galveston, j’étais parmi les plus jeunes majors du Texas.
J’étais chargé d’évacuer les femmes et les enfants quand les bateaux des nordistes sont entrés dans le port. Il m’avais fallu la journée pour tout organiser, puis j’étais parti avec la première colonne de réfugiés en direction de Houston. Nous avions atteint la ville à la tombée de la nuit. Je m’étais attardé pour m’assurer que tout le monde allait bien avant de rebrousser chemin. Je n’avais pas eu le temps de prendre du repos.
A un kilomètre de la ville, j’étais tombé sur trois femmes. C’étaient les trois plus belles créatures que j’aie jamais vues. Je me rappelle m’être émerveillé devant leur peau si pâle. Toutes trois étaient assez jeunes pour être qualifié de fille et non de femmes. Toutes trois, elles avaient discuté quelques minutes avant que deux d’entre elles ne s’en aillent. La dernière m’avait adressé la parole. Je me rappelle encore de sa voie sensuelle et envoûtante. Je n’avais jamais entendu de voix aussi mélodieuse. Elle s’étaient ensuite penché vers moi comme pour m’embrasser. Incapable de bouger, j’avais senti son souffle glacé sur ma peau. Je me rappelle encore du frisson qui avait alors parcouru ma peau… à la fois terriblement tentateur mais aussi très effrayant. Un peu comme si malgré le fait que mon corps était totalement envoûté, mon esprit me criait de fuir un danger… Ses lèvres s’étaient sensuellement posé sur mon cou, froide et douce comme un pâle matin de printemps frémissant encore du froid hivernal. C’est alors qu’une douleur atroce avait alors prit possession de moi. Comme un animal prit au piège, je m’étais débattu avec la hargne de mes vingt ans, tel un cheval fou. Mais je n’avais pas réussi à échapper à sa poigne d’acier. Mon cou me brûlait atrocement. Une larme solitaire, la dernière, avait couler le long de ma peau alors que moi, le fier soldat, je ne voulait qu’une chose : que la douleur cesse. Mon corps tout entier ne semblait plus qu’être un brasier. J’avais à peine senti l’étau de ses lèvres carmin liberté mon cou. Je m’étais effondrer au sol comme un petit enfant apprenant seulement à marcher. C’était tellement dégradant pour moi et pourtant je ne m’en souciais pas vraiment. J’aurais voulu hurler, cracher hors de moi toute la douleur. Mais comme si Satan m’avait comprit, le feu avait flambé avec plus d’ardeur. Non croyant, j’avait pourtant implorer le ciel pour que la mort me prenne. Et en réponse à me prière silencieuse, tout était soudain devenu sombre.
Quand j’avais reprit pied avec la réalité, plusieurs jours avaient passé… ma vie avait dés lors prit une toute autre tournure. D’après ce que j’avais comprit, toutes les trois voulait se venger et récupérer un territoire. Petit à petit, elles avaient commencé à monter une armée de nouveau-nés, que Maria mettait un point d’honneur à entraîner. Avec une armée de vingt-trois soldats, nous étions partis pour Monterrey. La bataille avait été facile. Nous n’avions perdu que quatre recrues.
Maria par après voulu agrandir son territoire. Cette année là, Maria avait prit le contrôle de presque tout le Texas et du nord du Mexique. Mais Nettie et Lucy s’étaient retournée contre Maria. Après cette bataille, seul moi et ma créatrice étions encore en « vie.
Quelques décennies plus tard, j’avais noué une amitié avec un nouveau-né. Il s’appelait Peter et avait été assigné à la surveillance des jeunes. Un jour, l’heure était venue de purger les troupes, de les remplacé par du sang neuf. Peter et moi avions ordre de les liquider.. Mais au moment où Charlotte, une nouvelle-né que nous devions exécuter, est entrée, Peter étaient devenu fou furieux. Tous deux s’étaient enfuit, sans que je ne les poursuive… Par amitié pour Peter sans doute.
Cinq années après, Peter étaient revenu en douce alors que j’allais détruire Maria, mon unique alliée. Il m’avait alors raconté sa nouvelle vie avec Charlotte et les options auxquels je n’avait jamais osé songer. Ca avait suffit à me convaincre. Je m’étais alors en allé sans me retourner. J’avais voyagé plusieurs années avec Peter et Charlotte. Chaque fois que je chassait, et tuais, je vivais les émotions de ma proie. J’avais dés lors essayer de chasser moins mais ma soif était telle que j’en étais incapables.
Un jour de tempête à Philadelphie, j’étais sorti en plein jour sous la pluie. Conscient que resté là attirerait l’attention, j’était entré dans un petit restaurant..
Elle était là. Elle m’attendait, évidemment. Dés qu’elle m’avait aperçu, elle avait sauté de son tabouret et m’avait rejoins discrètement. Elle souriait.
- Tu m’as fait attendre, avait-elle lançé.
Doucement, je m’étais incliner avant d’attraper sa main pour comprendre ce qui se passait. Et Alice m’avait raconté ce qu’elle savait de Carlisle et des siens. J’avais eut du mal à la croire mais nous étions finalement venus rejoindre Carlisle, débarquant en pleine chasse face à Edward et Emmett.
Depuis ce jour, nous vivions avec eux. J’étais désormais Jasper Hale. Un jour toute la famille s’était installé à Forks. C’était là qu’Edward avait finit par rencontrer Bella. |
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| | Sujet: Re: Jasper Hale Sam 14 Fév - 19:52 | |
| Exemple de RP:
C’était si enivrant, si plaisant, de percevoir la douceur de sa peau sous la mienne. Pour n’importe quel humain, sa peau aurait semblé glacée et dure comme la pierre. Mais pour moi, elle était chaude et aussi douce que les pétales d’une rose. Chaque contact avec elle était électrisant. Et son odeur sucrée me rendait fou, si bien que je pouvais presque sentir mon cœur battre la chamade. Chaque sensation créer par son corps tout contre le mien, étaient mille fois supérieure à celle que pouvaient ressentir les êtres vivants. Si ma nature douce n’avait pas été ce qu’elle était, j’aurais volontiers tué juste pour ces sensations. Heureusement, ma damnation éternel m’avait tout de même laisser ça… Bien que j’aurais fait n’importe quoi, même les pires crimes, si Alice me l’avait demandé.
Allonger sur ma femme, retenu contre elle par ses gracieuses jambes solidement nouées autour de ma taille, je posais à nouveau mes lèvres sur son cou. Caressant chaque parcelle qui m’étaient offertes, suivant du bout de la langue sa clavicule. Les doigts enlacés aux siennes, je sentais sa poitrine se soulever régulièrement dans une lente respiration, entrecoupant le silence de marbre qui régnait dans la chambre… Notre chambre. Si sa respiration ne laissait rien supposer, j’y voyais tout de même un signe d’abandon total. Chose plutôt rare chez elle qui était d’habitude si… raisonnable. Elle se laissait rarement aller à un tel état, lorsque la maison était pleine. Ce qui n’était pas pour me déplaire, je devais bien l’avouer. Mais je pouvais facilement sentir la raison revenir à la charge… Bientôt, ce n’était qu’une question de minutes, elle mettrait fin à notre échange. Je sentait en elle le respect qu’elle avait envers notre famille. Pour eux, une fois de plus, surtout pour Edward je suppose, elle stopperait tout. Et « soumis » à elle, à ses désirs, je n’inciterais pas. Contrairement à Emmett et Rose qui ne se gênaient pas pour faire profiter tous Forks de leur ébats fougueux, Alice était plus réservée.
Perdu dans mes réflexions, c’est un gémissement franchissant les lèvres de mon adorable lutin, qui me ramena à la réalité. Un léger grondement de bien être, semblable à un ronronnement, sorti de ma gorge alors qu’une de ses mains avait reprit place dans mes cheveux. J’adorais par-dessus tout sentir ses doigts s’emmêler dans mes boucles blondes, j’avais l’impression d’être parcouru de frissons.
« Jazz...»
A travers ce simple gémissement, je pouvais sentir la torture qui s’était emparé d’elle… Fonctionnant en permanence, mon don déchiffrait ses émotions comme si je lissais un livre écrit en caractère gras. Elle aurait aimé poursuivre notre câlin et d’un autre coté, elle n’avait pas envie d’en faire profiter la maison entière, dont Edward qui se trouvait dans sa chambre et qui pensait sans doute à la fille du chef Swan.
Jazz ! Ce surnom, qui avait le don de m’énerver quand Emmett l’utilisait, me faisait un effet tout autre lorsqu’il sortait de la bouche de mon ange. C’était comme un vent frais attisant un feu de forêt, il attisait le désir qui brûlait entièrement mon être, le rendant plus vivace encore. A moins que ce ne soit la voix de ma tendre épouse, et non le surnom, qui m‘arrache toute volonté de lui rendre sa liberté d’action et qui me pousse à la garder au creux de mes bras… pour lui y faire subir la plus délicieuse torture don un mari est capable envers sa femme.
Je ne pus pousser plus loin mes réflexions. Des lèvres sucrées s’emparèrent avec douceur de miennes. Une nouvelle vague de bien être s’emparait de moi alors que je répondais au baiser langoureux de celle qui était mienne. En moins de temps qu’il n'en faut pour le dire, je me retrouvais sur le dos, la plus belle femme qui m’ait été donné de voir, assise de manière dominatrice sur mon bassin. Cette vision eut pour réaction de décupler le désir que j’avais pour Alice. Le baiser que nous échangions, au départ doux et langoureux, se fit plus ardant, plus empressé mais aussi plus impérieux… M’emportant dans un tourbillon de sensations plus exquises les unes que les autres. J’aimais énormément lorsqu’elle prenait les devants comme en se moments, bien que je sache que ça ne durerait pas bien longtemps.
Comme pour me prouver que j’avais bel et bien raison, je sentis Alice se figer quelques millièmes de secondes avant de s’écarter légèrement, mettant ainsi fin au baiser que nous échangions depuis plusieurs longues minutes. Un léger sourire naquit sur ses lèvres rosées suite à la douce torture qu’elles venaient de subir. C’était une manière de s’excuser, de me repousser sans me vexer… Car malgré l’arrêt de mon cœur et des fonctions vitales de mon corps, je n’en étais pas moins un homme. J’avais toujours ma fierté et se faire repousser par sa femme pouvait être plutôt vexant. Mais je ne lui en voulais pas le moins du monde. Je la connaissais sur le bout des doigts à présent et ses réactions n’avaient plus de secret pour moi. Mais cela ne m’empêchait pas de profiter de sa présence à mes cotés, caressant sa joue, suivant d’une main la courbe parfaitement dessinée de ses hanches alors qu’elle me fixait.
Pas une parole n’était échangée. Nous n’avions pas besoin de cela pour nous comprendre mutuellement. Je savais que des souvenirs à jamais gravé dans sa mémoire refaisaient surface à l’instant même. Son regard ambré semblait lointain, mais moins que lors de ses visions qui pouvais parfois être violentes. Une douce chaleur se répandit en moi…un bonheur intense si je faisais plus attention. J’en déduisis qu’elle devait se remémorer l’un de nos moments à nous deux et un moment particulièrement heureux.
Des moments heureux nous en avions eu. Rien que notre rencontre en avait été un… Sans doute l’un des plus heureux, avec nos mariages bien entendu. C’est un souvenirs qui revenaient souvent à ma mémoire. A par Maria, aucune femme n’avait attiré mon attention et encore moins mon affection… Bien que je ne sois pas sur de pouvoir parler d’affection en ce qui concerne ma créatrice. Je me souviens même l’avoir haïs plus d’une fois et je continue à la haïr jour après jour pour avoir fait de moi un monstre. Cependant, je lui suis reconnaissant de m’avoir créé… C’est un peu grâce à elle si j’ai pu rencontrer Alice. Je dois une fière chandelle à Peter également. Toujours est-il que mon regard c’est posé sur elle dés que je suis entré dans se petit restaurant. J’aurais pu tuer une à une les personne qui étaient présente, ou bien prendre n’importe laquelle des serveuse qui était sous mon charme pour en faire ma compagne par la suite… Mais non ! A peine mon regard s’était-il posé sur elle, que plus rien au monde existait. Cela m’a d’ailleurs beaucoup intrigué. Puis elle ne semblait pas hostile envers moi, au contraire. Je me rappel du sourire qui a étirer ses lèvres lorsqu’elle m’a vu. Je l’avais alors rejoins pour tenter de comprendre son comportement pour le moins étrange. Une douce chaleur m’avait envahit en sa présence. Elle s’était avancé pour venir à ma rencontre, comme si elle me connaissait et qu’elle m’attendait. Une petite moue adorable avait fait place sur son visage alors qu’elle me reprochait de l’avoir fait attendre. J’étais abasourdi par ses paroles. Nous nous étions alors installer dans un coin pour discuter. Elle m’avait alors parler d’une famille de « végétariens » qui menaient une vie paisible, comme des gens tout à fait normaux. L’écoutant d’une oreille, je l’avais détaillé, cherchant ce qui m’avait attiré chez elle. Mais a mon grand étonnement, je n’avais pas pu le déterminé. C’était comme si tout son être avait été créé pour répondre au mien. Tant sur le point intellectuel, que physique. Et pourtant nous étions totalement différent. Elle était brune, petite, à l’air plutôt extraverti et d’une beauté à vous en couper le souffle… Je l’avais d’ailleurs trouvé bien plus belle que Rosalie, qui pourtant était une très belle femme. Moi j’étais grand, blond, plutôt introverti et une grande partie de ma peau était couverte de cicatrice, si bien que je me trouvais plus repoussant que beau. Et pourtant ça avait été le grand amour, tout de suite.
« Soyons sage»
Le murmure de sa voix me ramenait une fois de plus à la réalité. Je remarquais dés lors qu’elle s’était éloigner de moi. Le seul contact que nous avions gardé : nos mains attachées l’une à l’autre. Si ce simple contact physique suffisait, celui de son regard me manquait quelque peu. Je la contemplais alors qu’elle semblait très absorbée par le plafond, l’arrête subtil de son nez, ses lèvres aux contours sensuels, ses yeux doré légèrement cernés… Je me demandais de quelle couleur ils avaient pu être autrefois. Bleu ? Vert ? Marron ? Gris peut être. Marron sans doute. De manière a être assorti à ses cheveux.
Alors que je l’observais toujours, le son de la Mercedes de Carlisle se fit entendre…mais aussi celui de la télé et des plats dans la cuisine. Esmé devait sans doute encore cuisiner, bien qu’aucun de nous ne mange… Ça la forçait à aller faire les courses régulièrement et ainsi à renforcer l’illusion que nous étions des gens ordinaire. Humant l’air ou flottait un parfum que je reconnaîtrais entre mille, je souris.
« Des crêpes… » murmurais-je avec bonne humeur comme un enfant face à son plat favoris. « Il est parfois vraiment dommage que nous ne puissions nous nourrir comme tout le monde…Je suis sur que tu aurais adoré les crêpes. »
Je posais un petit baiser sur le bout de son nez avant de lâcher sa main et d’aller m’installer face à la fenêtre, observer le vent jouer dans les feuillages. Bientôt, d’ici deux trois jours, il me faudrait aller chasser. Sinon, je serais un réel danger pour les lycéens que je côtoyais.
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| | | | Alice Cullen
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| | Sujet: Re: Jasper Hale Sam 14 Fév - 20:17 | |
| Wow ! Ta présentation est vraiment parfaite selon mes critères Jasper. Elle est vraiment complète et tu as décris Jasper justement comme je le voyais. L'idée de l'exemple de Rp est vraiment bonne, je vais essayer de penser à l'intégrer dans la présentation. Bref, tu es accepté avec plaisir Jazz  | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Jasper Hale Sam 14 Fév - 20:20 | |
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| | | | Alice Cullen
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| | Sujet: Re: Jasper Hale Sam 14 Fév - 20:22 | |
| C'est avec plaisir ! Tu peux commencer à Rp et à faire une demande de rang ou de topic  | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Jasper Hale Lun 16 Fév - 2:02 | |
| Bienvenue Jasper!
Je suis contente que tu sois là, Alice va arrêter de se morfondre!
Je suis la sexy Modo du fofo et ausssi une fille de party, so bienvenue encore!
Edit d'Alice : JE NE ME MORFONDAIS PAS DU TOUT MA CHÈRE ! XD |
| | | | Isabella Swan
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| | Sujet: Re: Jasper Hale Lun 16 Fév - 23:41 | |
| Bienvenue Jasper  | |
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