Full Moon
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 *NO ONE EXCEPT ABBY*

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MessageSujet: *NO ONE EXCEPT ABBY*   *NO ONE EXCEPT ABBY* EmptyMer 7 Jan - 4:17

*NO ONE EXCEPT ABBY* Iconkatyperry3
What about my dreams, if I got eternity to make them come true...

IDENTITÉ


Nom: Un nom qui me fait grand honneur de porter, qui a une signification cachée dans mon coeur. Ce nom est mon contrat, celui qui me lie avec le destin que j'ai choisi, bien des années auparavant. J'ai déjà eu un nom, un autre, mais comme tout le reste, j'ai préféré l'effacer. Je suis maintenant Montignac et fière de l'être.
Prénom: C'est un prénom rare et ancien. Les gens qui me l'ont donné m'aimaient beaucoup et ont souhaité, à l'époque, transmettre leur affection dans ces trois syllables. Aibigaïl en est ressorti.
Surnom: De ma vie humaine, je ne crois pas en avoir eu. Je n'ai jamais aimé qu'on me donne des petits noms affectueux, ça m'a toujours rendu folle de rage. Je tolère bien Abby et Ab. En fait, je dois m'y faire puisque tout le monde m'appelle comme cela. *soupir*
Âge: Je suis très vieille, pourtant, je n'ai jamais eu l'impression de vieillir. Est-ce normal? Bien sûr. Cent dix ans cette année et toujours pas une ride. Experte en conservation de steak centenaire? Non. Théoriquement, j'ai toujours dix-huit ans, le même corps sans anicroche et la même folie de la jeunesse.
Date de naissance et lieu de naissance: 25 septembre 1898, Texas, États-Unis... Ça se glisse bien dans une conversation, non?
Profession: Étudiante. J'ai déjà passé pour plus vieille pour étudier dans divers domaines plus précis, et j'ai même travaillé. Mais en ce moment, je suis de retour sur les bancs d'école. Crise de la quarantaine? Pas vraiment...
Année d'étude: Terminale, ouhhhh... Suspect
Groupe: Ce que je suis moi? Je ne suis plus vivante, ça c'est certain. Je n'appartiens à rien de ce tu peux appeller de rationnel. Un être surnaturel, étrange, et dangereux. Le mot te rébute? Je t'en dirai plus. Je ne me nourris que d'une seule chose: le sang. Dis-le. Vampire.


Dernière édition par Abigaïl Montignac le Ven 23 Jan - 4:30, édité 17 fois
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MessageSujet: Re: *NO ONE EXCEPT ABBY*   *NO ONE EXCEPT ABBY* EmptySam 17 Jan - 5:02

Physique: À force d'être vampire on développe une certaine assurance qui frise la prétention. Il n'en est rien pourtant. En fait, il est mathématiquement impossible (aussi impossible que 1+2 font quatre) qu'un membre de notre race une attitude plus confiante. Car les gens comme moi (vous comprenez là, je ne vais pas aller péter la broue), cassent les choses autour d'eux plutôt qu'ils ne s'abîment eux-mêmes. Si on essayait de faire une comparaison, on pourrait dire que je suis faite de pierre. Ma peau, en tout cas, est plus dure que celle-ci, et lisse comme du verre. J'ai un teint que j'échagerais bien pour de belles pomettes roses, un teint blanc comme neige dû par l'absence de vie dans mon corps j'imagine, de sang du moins. Mes bras contiennent une force dont j'ignore toujours l'étendue, ne m'ayant jamais vraiment battue. Mes jambes, tant qu'à elles, sont capables de me propulser à des vitesses vertigineuses, nullement affolantes... plutôt excitantes. Pour un vampire, je suis très rapide. Peut-être pas autant qu'Edward, mais je suis tout de même pas mal. J'adore courir, en chasse, la rapidité est ma force, bien qu'on ne peut pas me comparer à une bête. Autre truc de pas trop normal chez moi, ce sont mes yeux. Oui, ils ne sont ni verts, ni bruns, ni même bleus, bien qu'ils l'eussent jadis été. En fait, ils arborent une couleur qui passe du doré flamboyant au noir profond. Sous mes yeux paraissent de temps en temps des cernes qui n'enlèvent rien à ma beauté.
Cela fait aussi partie des caractéristiques de mon espèce. La beauté époustoufflante. Celle qui dément ce que nous sommes réellement, des surhommes. Oui, qui pourrait soupçonner sous se corps frêle de déesse une force herculéenne? Personne. Quand on observe ma silhouette, ma taille de guêpe... ouhhh... elle écrase des crânes cette fille-là, pas croyable. Pourtant... je le peux! Je mesure cinq pieds presque 9 pouces, et je peux vous dire que de ma vie humaine, j'étais considérée comme une géante. Cela me donne une belle silhouette élancée et des jambes absolument sublimes qui en ont fait baver plus d'un. Je dois avouer que mes fesses ne sont pas mal non plus... Hihi... Bon on a le droit de frimer quand on sait être parfait. Le poison qui m'a enlevé la vie m'a aussi brûlé tout le gras en trop, a rendu ma peau comme des diamants et a fait de mon visage une statue de porcelaine. Mes cheveux eux, semblent toujours virevolter autour de celui-ci, au gré de mes humeurs. Ils sont presque noirs.

Caractère: Dépressive, violente, méchante... Tant de mots qui ne me décrivent pas du tout. Sérieusement, si vous voulez me suivre, vous seriez mieux d'être en forme. Je crois être une bonne personne, avoir fait de bons choix à un temps où ma vie ressemblait à un orage. J'ai vécu des choses difficiles qui auraient pu me changer en bête sanguinaire. À la place, je vis en parallèle avec les humains. Ceux-ci me fascinent assez, par leurs choix, leur actualité, ce qu'ils sont devenus; mais aussi par certains individus complètement uniques et qui réagissent de façon étonnante. J'ai étudié quelques fois la psychologie, et, téméraire, j'ai tendance à m'approcher de trop près des humains, de parfois créer des liens dont je devrais me passer. Ce n'est pas tellement ma faute, je suis quelqu'un de sympathique dans l'âme et je ne suis pas raciste. Humain, vampire... ou même quileutes-loups... Bon, je sens que je me ferais arracher la tête par Ed s'il me lisait... Mais bon! Comme je disais, je suis quelqu'un qui adore se faire de nouvelles connaissances et je suis loin d'être timide! Je suis rarement intimidée par quelqu'un et il faut savoir encaisser le coup si on veut se tenir avec moi... Ouain, disons que je suis très directe. Je dis absolument tout ce que je pense, ou presque. Le tact n'est pas trop mon fort et souvent je me dis que j'aurais mieux fait de me taire. C'est un de mes plus gros défauts, je le sais. Si je vous blesse, ce n'est pas parce que je veux, vraiment. Je n'arrive tout simplement pas à garder tranquille cette langue.
Je suis une fille qui aime charmer et qui charme sans s'en rendre compte. En compagnie d'un beau mâle... C'est dans mon sang. Que voulez-vous? En fait, c'est juste que je dégage un fort charisme qui attire les gens. Mon sourire peut-être? Aucune idée. Je suis facile d'approche, c'est tout. On m'accorde confiance, car on sait que je sais garder un secret. Malgré tout, je préfère ne pas les savoir vos secrets, car ils me chicottent, et j'ai vraiment envie d'en parler... Ce que je ne fais pas, pour vrai. Ha ha! Je suis une fille qui rit, qui rit tout le temps. J'ai vraiment la joie de vivre et elle est contagieuse en ma compagnie. Je suis attentive aux problèmes des autres et à leurs sentiments. Je suis sensible, mauvais pour une vampire qui ne peut pas pleurer... Avec moi, il est impossible d'avoir un petit souper relaxe, je dois toujours faire les choses en grand, un peu comme Alice. Je suis passée maître dans l'art de l'organisation. J'adore l'action, c'est pour cela! Je bouge toujours, comme un enfant énervé. J'aime courir, et surtout chasser. Dans mon monde, il faut que ça bouge, sinon je suis malheureuse. Et quand j'ai le moral bas, j'ai vraiment le moral bas. J'ai un sacré caractère et je le sais bien. Je n'aime pas qu'on me cherche des poux, et quand je n'aime pas quelqu'un ça paraît. Je suis susceptible, un rien me fait réagir. Mais au moins ça donne de la vie dans la maison! N'est-ce pas? J'aime avoir le contrôle, être la leader, faire des plans et organiser. Disons que je suis un être à part, mais attachant. Wink


Ce que vous aimez et détestez: Je suis une férue des arts de toutes sortes. Les oeuvres d'art me passionnent, surtout la peinture et le dessin au fusain. C'est mon petit péché mignon, acheter des oeuvres qui valent une petite fortune. J'en étudie les moindres couleurs avec grand soin. J'aime aussi faire mes propres créations, et quand je pars sur une peinture, je peux y rester pendant des jours, car je prend mon temps. Les arts, c'est vaste, j'adore aussi la musique et le théâtre. J'aime assister à des opéras, mon style musical préféré, ou des pièces de théâtre de Shakespear. Les vieilles chansons du début à la demi du XXe siècle sont mes préférées, la musique d'aujourd'hui ne m'impressionne pas souvent. Ce que j'adore PAR DESSUS TOUT c'est la MODE!! Je parcoure sans arrêt les boutiques afin de me trouver des nouvelles fringues, j'en crée moi-même aussi, bien que je trouve qu'Alice a plus de talent que moi. Ce que je déteste, c'est la lenteur, puisque je ne suis pas des plus patientes. Je n'aime pas l'arrogance, ça me met hors de moi. Je n'aime pas beaucoup perdre, mais je ne suis pas mauvaise perdante. Il n'y a pas grand chose que je n'aime pas, c'est plutôt certains comportements qui m'horripilent.

Vos ambitions: What about my dreams? When I got eternity to make them come true? Cette phrase résume assez bien ce que je ressens par rapport à mes ambitions. Comment peut-on rêver quand on a l'éternité devant soi? Je ne pense pas m'attirer assez grande rivalité avec quiconque pour me faire tuer demain matin, hein! Sérieusement, rêver me manque. Plus les années passent et moins je me consacrent à mes rêveries. Tout cela est provoquer par l'immense sentiment de solitude que je ressens au creux de mon estomac. J'ai les Montignac et les Cullen, même, me direz vous. Oui. Mais je ne connais pas de communauté, pas de but commun. J'envie les humains, car ils ont des projets de société. L'environnement, enrayer la violence et la pauvreté... C'est de ça que je parle. Ces problèmes d'humains ne me concernent pas et je ne peux pas m'en mêler. Je ne peux pas espérer devenir la meilleur dans certains domaines, car les vampires sont trop forts. Ma race peut-elle vraiment connaître l'amélioration dans un autre domaine que de contenir la soif? Alors Abby, que veux-tu donc dans ta vie? Je veux l'amour. Ce n'est pas une ambition, ni un rêve. C'est seulement que trouver un être avec qui je serais totalement comprise, quelqu'un à qui je me laisserais faire plaisir. Un égal, quelqu'un d'autre que ma petite famille. Je n'en ai parlé à personne, répondant toujours que l'amour n'est pas essentiel à ma vie. C'est vrai. Pas essentiel. Mais la solitude dans ce monde commence à me peser. Lorsque je vois Alice et Jasper, ou mes parents... Parfois mes yeux brûlent. Je les envie d'avoir quelqu'un dans les ténèbres de la vie éternelle.

Votre pouvoir: Vouloir pleurer trop souvent... Mais non! En fait, je sais exactement quand les gens mentent, et ce n'est pas une intuition. C'est une certitude, alors il serait mieux pour vous de ne pas me mentir parce que je le sais, même si vous êtes le plus habile des acteurs.


HORS JEU


Personne sur l'avatar: "You change your mind like a girl, changes her clothes..." Ça vous dit quelque chose? Katy Perry, bien sûr.
Prénom ou surnom: Sur mon certificat de baptême, il est écrit Alexandra. Mais je préfère qu'on me surnomme Alex, ou Golden. Golden me vient d'une chanson de mon groupe préféré, Fall Out Boy.
Code: Les maudits codes... LA TRAITRESSE VALIDE ENCORE UNE FOIS.
Fréquence de connection: Tout dépendant comment je me sens. Je me connecterai probablement souvent, la question est, à quelle fréquence je répondrai a mes posts?
Où avez-vous connu le forum ? : De ma très chère Alice, qui m'a fait chercher le code toute seule (la traitresse!!)
Autre chose ? : Nah...
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MessageSujet: Re: *NO ONE EXCEPT ABBY*   *NO ONE EXCEPT ABBY* EmptyVen 23 Jan - 4:24

DESCRIPTION:

Histoire:


AVANT
*NO ONE EXCEPT ABBY* Iconbethanyjooygale5 *NO ONE EXCEPT ABBY* Jma3tl2 *NO ONE EXCEPT ABBY* 7f8dd7c738f6b24ebe3223fiz9
Maman, Papa et Papa feat Bettany Joy, James McAvoy et Brad Pitt
Marjolaine Stokes a toujours été une femme pétillante, joyeuse, un peu trop rêveuse pour l'époque. Elle avait dix-sept ans, un âge tout à fait à point pour se marier. Pourtant, la jeune femme n'était pas du tout prête à épouser un homme, vraiment pas. C'était encore une enfant, elle n'avait même pas eu ses premières règles encore. Dans sa tête Marjolaine voulait vivre encore quelques années dans son imagination, à vivre cet amour poli qu'elle vivait avec le fils du cousin de son père, Jonathan. Les seules avances qu'ils avaient osé se faire avaient été de se prendre par la main, et une fois, une fois inoubliable, où ils s'étaient embrassés. Jonathan avait deux ans de plus qu'elle, il désirait devenir écrivain, au plus grand désarroi de son père, qui le battait souvent quand il était petit. Georges Stokes, le père de Marjolaine, possédait une compagnie de textile importante de la région et était très riche. Sa fille, donc, ne manquait jamais de rien. Jonathan avait beaucoup moins de moyens qu'elle, et il travaillait à l'usine de Georges. Les deux jeunes gens se voyaient souvent, John lui racontait des histoires fantastiques qui émouvaient la jeune femme. Vint un jour où tout cela cessa, puisque Marjolaine cessa d'être une petite fille, et son père offrit sa main. L'heureux élu était un homme dans la trentaine, un riche banquier austère.
Il s'appellait Arthur G. Jeffrey. C'était un homme séduisant, reconnu pour sa bonté. Mais il n'exprimait pas beaucoup ses sentiments, et la personnalité de glace de M. Jeffrey ne plû guère à Marjolaine dans les premières années de leur mariage. Mais l'éclat de vie qui émanait de la jeune femme séduit tout de suite le banquier. Il était autoritaire, mais très tendre avec elle. Il ne lui disait jamais qu'il l'aimait, car il n'avait pas été élevé de cette façon, mais pourtant c'était le cas. Mme Jeffrey ne le vit cependant pas tout de suite, et cela la comblait de malheur. Elle était vraiment malheureuse, ne pouvant plus désormais laisser aller son excentricité, sa folie, son imagination. Elle vivait avec un homme qui la caressait, l'embrassait et qui lui faisait l'amour, mais qu'elle était certaine qu'elle ne pourrait jamais aimer.
Deux ans plus tard, elle recroisa par hasard Jonathan. Leur amour était si féroce, amplifié par ce long moment de séparation, qu'ils agirent sans réfléchir. Dans l'appartement miteux du jeune homme, ils se firent l'amour passionnément. Mais après, ils surent que c'était pour la dernière fois. Ma mère revint à la maison, et redoutable actrice, ne laissa rien paraître de son trouble. Pourtant, elle était boulversée. Elle apprit quelques semaines plus tard qu'elle était enceinte. Elle savait que l'enfant qu'elle attendait n'était pas celui d'Arthur. Marjolaine se promit de ne rien lui avouer la vérité, car, dans son coeur, elle commençait à l'aimer elle aussi. Celui que je pris longtemps pour mon père, même après ma mort, fut fou de joie. C'est dans un accouchement difficile, long et douloureux, que Marjolaine me donna naissance. C'etait le 25 septembre 1898. Les dates importaient peu à l'époque, pourtant, ma mère se rappela très bien de celle-ci.
Ce fut le jour où sa vie changea, où mes deux parents, ceux que je considérais comme tel, se rapprochèrent. Désormais, ils étaient une famille. Mon père continuait à être aussi stoïque, mais à l'intérieur, il était un homme comblé et parfaitement heureux. Son travail l'occupait beaucoup, à la banque; ma mère se trouvait donc seule à la maison avec son petit bébé et les domestiques. Elle s'occupa elle-même de mon éducation, dès mon tout jeune âge, et elle n'y allait pas de main forte! Il y avait un certain instinc maternel en elle qui la changea en femme plus exigeante. Elle m'enseigna tout ce qu'on lui avait appris, tout ce que l'on devait savoir pour être une femme mondaine. Je grandis dans l'amour de mes deux parents, leur dureté aussi, et surtout dans l'argent, l'argent et encore l'argent. Cela me rendit un peu (beaucoup) égoïste et imbue de moi-même dans mon adolescence. J'aimais qu'on me regarde, car j'étais belle, riche et intelligente. J'étais tout simplement parfaite et je voulais que tout le monde le sache. J'adorais aller faire les boutiques et provoquer la jalousie des femmes et des hommes du pauvre peuple non éduqué. Malgré tout, j'avais hérité des belles valeurs et qualités de ma mère, avec l'attitude un peu hautaine de mon père. Mon frère, né deux ans après moi, avec comme père Arthur, lui ressemblait comme deux gouttes d'eau, physiquement et mentalement. Je ne l'aimais pas beaucoup, il m'énervait sans cesse et se pensait meilleur que moi dans bien des domaines, ce qu'il n'était pas du tout le cas.
Les années de mon enfance passèrent, je m'occupais comme toute femme mondaine, parcourant les boutiques de riches artisans, montais à cheval comme une vraie dame et assistais à des opéras de partout dans la région. J'aimais me prommener, voyager, j'allais chez des amis avec ma mère et visitais leurs villes. Aucune responsabilité, j'étais libre comme l'air! Mon père n'était pas tout à fait d'accord avec ma condition, et bientôt, il me pria de penser sérieusement à me marier. Commencèrent alors les soirées ennuyantes en compagnie d'Arthur et de Georges, mon frère (nom de notre grand-père)... Je devais rencontrer des hommes riches qui feraient l'affaire de mon petit papa. Malheureusement, je ne rencontrai que de vieux boucs. Un homme finit par me tapper dans l'oeil, mais je mourrus avant d'avoir eu l'occasion de connaître son nom.

PENDANT
*NO ONE EXCEPT ABBY* Kpid810
Poor little thing in danger! feat myself

26 septembre 1916. Cette nuit-là me changea à jamais évidement. C'était l'une des rares fois où j'étais dans ma ville natale au Texas. C'était l'une des plus importante de la région, à l'époque, à cause de la gare centrale des chemins de fer. Notre domaine se situait au Nord de la ville, j'avais pris une voiture avec ma mère pour une journée dans les boutiques. J'avais beaucoup plus la passion des vêtements qu'elle, même qu'elle me reprochait souvent mes importantes dépenses dans des tenues de luxe. Je faisais l'oreille sourde, comme d'habitude. Je savais tout de même qu'elle appréciait nos journées ensemble au centre-ville. Le soleil se couchait, ma mère, plus vieille que moi, voulait rentrer, car fatiguée. Mais ce n'était pas mon cas. Je lui dis de rentrer, que je rentrerais avec une autre voiture. Elle me laissa seule dans les boutiques, avec argent, bijoux et sacs à profusion. Il devait être pas loin de vingt et une heures, la lune était levée depuis un bon moment et me fixait avec ses grands yeux pâles. Je me prommenais sur une rue secondaire et résidentielle, je souhaitais ainsi rejoindre l'allée principale pour appeller une voiture et rentrer. Je me sentais lasse d'avoir tant marché, mes pieds me faisaient souffrir et mes bijoux pesaient lourd autour de mon cou et de mes poignets.
Je m'étais perdue dans mes pensées en observant le ciel et les étoiles qui étincellaient. La nuit était chaude et silencieuse. J'étais seule dans la rue, et, insouciante, ne faisait pas trop attention où j'allais, ni à ce qui m'entourait. Derrière moi, deux silhouettes noires me suivaient, aussi silencieuses que des chats. Je me mis à fredonner une mélodie de classique quand l'un des deux jeunes hommes me frappa violemment à la tête. Je m'écroulai sur le sol, complètement sonnée. Ma vue s'était voilée, et je ne voyais que des formes floues autour de moi. Je sentis qu'on saisissait le collier à ma gorge, et je fus secouée sans ménagement. Cela me fis reprendre mes esprits très rapidement. L'autre garçon me saisit par les épaules et m'immobilisa. Je hurlai, hurlai comme une démente, mais d'un son grave, rageux. Je me débattis comme une démente et réussis à dégager un de mes bras. J'assainai mon poingt avec toute ma force sur le visage de l'homme devant moi qui tentait de m'arracher mon collier.
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MessageSujet: Re: *NO ONE EXCEPT ABBY*   *NO ONE EXCEPT ABBY* EmptyVen 23 Jan - 4:42

-TIENS-TOI LOIN, FUMIER! hurlai-je.

Le garçon -il devait avoir quelques années de plus que moi, pas plus de cinq- recula sous l'impact du coup de poingt. C'était bien envoyé, directement sur le nez, que je dus briser si je me fie au bruit de craquement que j'entendis à ce moment-là. Je ne sais pas trop comment je fis, mais je lui donnais un autre coup, avec mon pied, cette fois, avec un grognement rageur, sur le côté de la tête. En mauvaise posture, il tomba plus loin, un peu assommé. Je profitai de l'ébahissement du second homme derrière moi, le plus vieux, pour libérer mes bras et me relever rapidement. J'étais prête à tout casser, pas pour défendre mes bijoux, mais plutôt ma fierté. Orgueilleuse comme trois, je ne supportais pas que ces vermines ne me touchent, ne prennent ce qui m'appartenait, ou même salissent ma robe. J'étais dans un état de rage dangereux pour moi-même, qui m'aveugla. Je ne mesurais pas le danger qu'ils représentaient pour moi. Je n'étais qu'une femme sans aucune formation de combattante, contre deux hommes grands et forts, bien qu'un peu idiots. Je pris ma décision beaucoup trop vite, j'aurais pu prendre mes jambes à mon cou et déguerpir mais je ne le fis pas. Je me retournai vers le plus vieux pour lui donner une correction. Il avait une trentaine d'année, était musclé et très large d'épaules. Barbu et l'air menaçant il aurait dû me faire changer d'avis. Petite idiote que j'ai été, mon Dieu! Il m'agrippa le bras mais je me débattis à nouveau. J'avais beau avoir la tête qui tournait, j'avais les idées claires. Avec ma main libre, je griffai violemment le visage du barbu. Mes ongles s'enfoncèrent jusqu'à la peau. Il me donna une gifle que j'encaissai et répliquai avec un coup de pied entre les deux jambes. Il se plia en deux avec un cri rauque et je le repoussai avec mon pied. Il tomba sur les dalles humides. Tout cela n'avait duré que quelques secondes. L'autre pendant ce temps, derrière moi, avait eu le temps de se relever, et de tirer son arme, un petit poignard.

La lame s'enfonça dans ma chair comme un éclair vous foudroie. Je sentis un immense froid envahir mes membres alors que mon dos brûlait. Je me laissai tomber à genoux. Je n'arrivais plus à respirer, chaque respiration attisait encore plus la morsure glacée et brûlante à la fois dans mon dos. Une main couverte d'ombre me jeta par terre, mais je sentis à peine ma chute, ou même ma joue qui élançait. Le plus vieux se mit à m'asseiner des coups de pied dans le ventre, des coups pour tuer, pour vous briser tous les os un à un. Après une minute, je me mis à cracher du sang. Je ne sentais plus rien. Je sentais que ma vie s'écoulait goutte par goutte sur le pavé de la rue, dans la flaque de mon sang qui se déversait lentement mais sûrement. Une côte brisée pointait dans un poumon qui menaçait de se perforer d'un instant à l'autre. J'étais devenue aveugle, je ne voyais plus rien autour de moi. Je sentis cependant des mains rudes, deux, quatre, me prendre tout ce que j'avais, mes bijoux, la broche de mes cheveux, mes sacs qui gisaient plus loin dans la rue, mon châle, mon porte-monnaie. Ils me laissèrent ma robe, mais me laissèrent dans la rue, me croyant probablement morte.

J'étais morte. Mon coeur battait trop lentement, et c'est avec courage que j'attendis le temps où il cesserait de battre. Il ne devait plus me rester beaucoup de temps, mais avant que je ne sombre dans l'inconscience, je sentis quelque chose me chuchoter d'une voix assurée et merveilleuse, pleine de douceur:

-Je suis là, ne t'inquiète plus, petite étoile.

Puis ce fut la fin. Et après la fin, la douleur. Le feu, chaque parcelle de mon corps qui brûlait. J'ai tenté de la combattre, je me suis débattue, j'ai crié. Je ne voulais pas, je voulais vivre, je voulais que ça cesse. Au bébut, je ne le sentis que dans mon épaule, à la base du cou. Mais il se déversa lentement, emplissant toutes mes veines. Je brûlais vivante. Pourquoi ça ne cessait pas? Je tentai d'apeller, mais aucun mot ne pouvait se former dans ma gorge en feu. Quelque chose était à côté de moi, et me prenait la main, je sentais sa paume glacée dans la mienne. Cela ne l'empêchait pas de fondre sous l'effet du brasier en moi. Parfois la pression disparaissait, me laissant seule pour un temps qui me paraissait une éternité. Plus d'une fois je faillis abandonner ma vie au poison dans mes veines, mais une voix me soufflait de tenir, une voix qui n'était pas la mienne.
Quatre jours. Mon calvaire dura quatre jours. Plus que d'habitude. À mon réveil j'étais une autre. Mon visage détruit par la violence était intact, refaçonné, modelé dans une beauté sauvage et divine. Mes côtes cassées s'étaient recollées et renforcées, comme tous mes os. Ma peau avait perdu toute teinte et avait pris la dureté la pierre et la douceur de la soie. Le poignard dans mon dos avait disparu, la blessure de même. Mais le pire, ce fut l'absence du tambourinement dans ma poitrine. Je restai des jours couchée sur le sol de la cave dans laquelle on m'avait transporté, les yeux grands ouverts. Un homme d'une beauté sans pareille se tenait près de moi, protecteur et patient. Il me regardait avec une douceur qui m'écoeurait et me réchauffait le coeur en même temps. Mon propre corps me dégoûtait, j'étais si inconfortable! Le fait que mon coeur ne batte plus me troublait. Eaton restait silencieux à mes côtés, comprenant ce que je vivais. Il me parlait quelques fois, c'est ainsi qu'il se présenta et qu'il m'expliqua comment il m'avait trouvé et ce que j'étais devenue. Son ton calme fini par m'appaiser. Au bout d'un temps que je n'ai pas compté, je me suis levée.
Ma vie changea ce jour-là. Eaton me raconta tout ce dont je devais savoir. Il m'expliqua son mode de vie, et pourquoi ma gorge me faisait si mal. Il m'emmena hors de la ville, et ce voyage fut le plus difficile de ma vie. J'avais si soif que si un humain avait passé par là à ce moment-là, je n'aurais sû me contenir. Mais c'était en pleine nuit, et Eaton me tenait par le bras. Nous avons couru sur plusieurs kilomètres. Nous nous sommes arrêtés plusieurs états plus loin, loin du Texas et de ses dézerts. Il m'emmena dans une forêt bien dense où je sus d'instinc quoi faire. Ma première proie fu un coyote. Pendant cette nuit de chasse, une autre vampire chassa à mes côtés. Lorsque je m'en rendis compte, je m'approchai d'elle et défendis mon territoire comme un animal sauvage. Mon mentor se pointa alors et me présenta Angela. Une fois ma rage passée, je fis connaissance avec elle. J'adoptai Eaton et elle comme mes parents, même si les miens me manquaient cruellement. Je comprenais leur mode de vie, même si je n'étais jamais vraiment rassasiée. Parfois je me rebellais, allais chasser en ville et je devais recommencer à zéro. Eaton se montra d'une patience légendaire avec moi. Angela fu plus dure, mais au combien utile à mon apprentissage.
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MessageSujet: Re: *NO ONE EXCEPT ABBY*   *NO ONE EXCEPT ABBY* EmptyDim 25 Jan - 20:08

APRÈS

*NO ONE EXCEPT ABBY* Kpie110 *NO ONE EXCEPT ABBY* Ag01110 *NO ONE EXCEPT ABBY* Jlh0110
*NO ONE EXCEPT ABBY* Dpa0410 *NO ONE EXCEPT ABBY* Erwi110 *NO ONE EXCEPT ABBY* Img190254h8h6bqz4



Moi, ma meilleure amie, et ma petite famille feat Katy Perry, Ashley Greene, Jennifer Love Hewit, Dougie Poynter, Evan Rachel Wood et Hugh Laurie
Quelques années passèrent. Je commençais à m'habituer à mon nouveau corps, à ces habitudes sanguinaires et à mon manque de luxure. Angela et Eaton insistaient fortement pour que nous vivions dans la nature, plutôt qu'avec les humains. Bien sûr, je n'étais pas prête à me joindre à ces derniers, à me fondre dans la masse. J'avais goûté six humains, en moins de dix ans. Assez pour les convaincre que j'étais loin d'être prête. C'est peut-être grâce à cette décision que nous avons sauvé Josh. Je déteste l'appeler comme ça, qu'est-ce que je dis là? En tout cas... Je me rappelle bien de cette nuit-là. C'est son histoire, je vais lui laisser la tâche de vous la raconter. Ce que je peux dire par contre, c'est que nous l'avons trouvé dans le Nord des États-Unis. Nous avions trouvé une belle forêt luxuriante, regorgeant de vie. Malheureusement en train de se faire raser... C'était l'époque, quoi, il fallait produire, couper tout ce qui avait des feuilles bien vertes pour s'en faire du bois de chauffage ou pour construire toutes sortes de choses.
Je chassais à quelques kilomètres d'Angela et d'Eaton qui, j'en suis sûre, en ont sûrement profité pour se bécoter... Mais bon! La nuit était calme, je suivais la trace d'un daim blessé avec une lenteur extrême, seulement pour m'amuser d'avantage. J'ai entendu mon père adoptif bifurquer vers l'ouest et je me suis demandée pourquoi ce changement de direction. Je l'ai suivie, abandonnant ma chasse. Je n'avais pas tellement soif de toute façon. J'ai finalement trouvé la raison. Un jeune homme se mourrait dans le fond d'un trou dans le sol, dû au déracinement d'un arbre touché par la foudre. Le temps que j'arrive, Angela était déjà à son côté. Il y avait une odeur de sang humain, mais je ne m'en souciais pas trop. Je commençais à m'y habituer, lentement mais sûrement. Je dus quand même plisser le nez en approchant. Joshua reposait au fond, le corps brisé par la chute. Eaton se laissa tomber près de lui, après m'avoir adressé un clin d'oeil. Il l'a ensuite transformé, avec la même douceur qu'avec moi.

Mes premiers temps avec Joshua furent très difficiles. Nous ne nous entendions pas du tout. J'étais un peu jalouse de l'attention que lui portaient mes parents, et des progrets qu'il faisait. Je me démontrais aussi méchante que possible avec lui, alors qu'il faisait tous les efforts pour que tout se passe bien entre nous. Je mûris, ce qu'il fit aussi et mon caractère redevint plus humain, en même temps que leur sang me faisait de moins en moins d'effet. Nous devîmes comme frère et soeur. Nous partageons tout maintenant. J'ai aussi fait connaissance avec Carlisle, Esmée et Edward Cullen. Je suis tombée sous le charme des deux premiers aussitôt que je les ai vus. Ils ont fait beaucoup pour mon apprentissage à la vie humaine. Encore aujourd'hui, j'admire Carlisle pour son courage. Edward me paraissait plutôt froid, et surtout malheureux. Nous sommes tout de même arrivés à bien nous entendre, et jamais je n'ai pensé à lui plus qu'en un ami for intelligent. D'autres membres s'ajoutèrent à la bande au fil des années, et nos deux clans se sont parfois assemblés pour vivre ensemble.
Leïa finit par arriver. Elle était une sauvageonne... Nous l'avons trouvé dans une petite ville d'Alberta au Canada. Elle avait été créé par un vampire qui souhaitait en faire sa compagne. Mais une dispute éclata entre la nouvelle-née et son créateur, et cette première finit par le détruire. Elle se retrouva alors complètement seule et désorientée dans ce vaste monde. Elle se nourissait de tout ce qu'elle pouvait trouver, humains comme animaux. Nous l'avons trouvée dans une grotte, alors que nous étions en plein déménagement. Nous revenions d'Alaska, un bon endroit pour nous incorporer aux humains, lieu où il faisait souvent un temps de chien. J'avais réussi mes premières années avec les humains, tout comme Joshua. Je n'avais tué personne! Pas un seul humain!! J'étais heureuse d'avoir réussi cet exploi... Mais bon. Alors comme je disais, Leïa reposait dans une grotte et se laissait mourir de faim, essayant de se détruire elle-même. Elle ne pouvait supporter ce qu'elle était. Nous l'avons rejoint dans la grotte et nous y sommes restés une longue semaine. Nous tentions de persuader la frêle jeune fille de se joindre à nous. Elle finit par accepter. Je la pris sous mon aile comme une grande soeur. J'ai tendance encore à la surprotéger.

Ma rencontre avec Alice Cullen changea ma vie... Awww... Moi et elle ce fut comme un coup de foudre. Nous nous sommes tout de suite entendues, et chaque fois où nos chemins se sont séparés ce fut dur. Nous avons même vécu ensemble, moi, elle et Jasper. Mais ça ne dura pas très longtemps. C'est à cause de moi que nous déménageons à Forks. Eaton n'était pas trop d'accord à cause des Quileutes. Il avait envie de revoir ses vieux amis, cependant, et j'ai tant insisté qu'il a flanché. Je suis un petit démon, mouhahaha! Alors voilou, je crois que c'est pas mal résumer mes années de vampirisme, mais bon... Je me suis fondue dans les humains, c'est tout, j'ai étudié dans plusieurs domaines et j'ai refait mes dernières années de lycée je ne sais combien de fois.
FIN!!
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MessageSujet: Re: *NO ONE EXCEPT ABBY*   *NO ONE EXCEPT ABBY* EmptyDim 25 Jan - 21:00

Hey hey... Mais c'est terminé! Presque un mois après!
Y'a de quoi être fière!
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Alice Cullen
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MessageSujet: Re: *NO ONE EXCEPT ABBY*   *NO ONE EXCEPT ABBY* EmptyDim 25 Jan - 22:07

Merveilleux ma belle.
Tu es validée, tu ne t'en doutais pas hein ! Razz
Bienvenue parmis nous
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MessageSujet: Re: *NO ONE EXCEPT ABBY*   *NO ONE EXCEPT ABBY* EmptyLun 26 Jan - 0:22

Ohhhhh que je suis surprise...
Haha! Maintenant on peut faire la fête!
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MessageSujet: Re: *NO ONE EXCEPT ABBY*   *NO ONE EXCEPT ABBY* Empty

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